Le 7 juillet, j’ai 38 ans. On est ensemble depuis plus de 20 ans. C’est l’homme de ma vie, je l’aime et nous avons trois enfants. On fait l’amour régulièrement, surtout en vacance. Je rentre fatiguée le soir et après s’être occupé des enfants et de la maison je n’ai qu’une envie c’est un bon bain chaud et de me coucher en pyjama.
Autour de nous il y a beaucoup de tromperies et de séparations. Ma meilleur amie me raconte ses relations avec son jeune collègue du travail. Elle rentre le soir ensuite pour voir son mari et ses enfants qui ne se doutent de rien. Il baisent partout, dans des voitures dans des toilettes dans des hôtels, presque tous les jours. Elle me raconte tous les détails et toutes les positions. Aussi qu’elle ne fait plus l’amour avec son mari. Bien qu’elle me raconte qu’il ait un sexe énorme mais que ça fait mal. Elle m’a même montré une photo du sexe de son mari, il lui avait envoyé. Effectivement il a un sexe énorme très épais mais cela ne semble pas lui plaire elle se plaint d’avoir mal.
A la maison, c’est aussi différent, mon fils aîné a 13 ans et lorsque je l’aperçois dans la salle de bain, il a des poils au pubis et un sexe d’homme. C’est un grand contraste avec son corps d’enfant et sa voix encore aigue mais qui déraille.
Et mon frère qui nous raconte ses soirées sexuelles, ou les maris le regarde avec leur femme ou les soirées avec plusieurs couples et hommes.
j’ai toujours voulu être une petite souris pour savoir ce que faisait les autres couples.
c’est dans ce contexte là qu’un soir mon mari me propose de regarder un porno tous les deux. Il choisit un triolisme avec deux hommes et une femme. J’ai toujours été excitée par mes porno. J’en voyait déjà quand j’étais adolescente et je fantasmais sur ces expériences. Mais éducation chrétienne oblige, je culpabilisais de ses pensées et de ma main entre mes cuisses. C’est ainsi qu’il me parla la première fois de libertinage et de triolisme. La femme sur le porno était doublement pénétrée et semblait y prendre grand plaisir même si ses cris sonnaient parfois un peu faux. C’est en me pénétrant et en me caressant le clitoris tout en me parlant de triolisme qu’il me fit jouir.
Les mois qui suivirent il abordât là questions à maintenir reprises, tantôt me demandant si je trouvais le chauffeur sexy ou notre jeune jardinier. Lors de nos rapports nous regardions des trios et quelques pluralités, la femme étant toujours seule au centre de belles attentions masculines. Il me parlait de plus en plus d’essayer. Moi qui ne connaissait plus que son sexe depuis plus de 20 ans. Je n’imaginait pas pouvoir avoir du plaisir sans les sentiments d’amour qui m’attachaient a lui.
c’est à cette période que j’ai commencé à faire des rêves très erotiques. J’en garde des brides de souvenir. Je pensais souvent au mari de mon amie et à la photo de son sexe. Ventait troublant lorsque je le voyais. Je savais que mon amie le trompait et j’étais irrémédiablement attirée par son entrejambe.un repas un dimanche midi chez eux à été particulièrement troublant. Je devinais à travers son short son sexe et je crois bien que ma culotte aurait pu étancher la soif de plus d’un homme dans le désert. C’est cet après midi là en rentrant que je disais à mon mari que je voulais bien essayer à trois. C’était le 7 juillet et cela faisait presque 6 mois qu’il m’en parlait.
Tout est allé très vite ce jour là, il s’est connecté sur un site qu’il connaissait et il m’a dit qu’il avait trouvé un jeune homme qui était prêt à venir chez nous. A ce moment la J’ai eu un mouvement de panique. Entre le fait de penser à recevoir quelqu’un et sa réalisation, il y avait un fossé. Il venait de se combler en quelques heures. Les moments qui ont suivis ont été très confus, je me souviens m’être épilée préparée parfumée, j’avais peur de ne pas être désirable, peur de paniquer, peur de ce qui allait se passer. Pas très glamour vous allez dire. Mon mari est allé le chercher à la gare, je suis restée pétrifiée sur le canapé. Ils sont arrivés chez nous, mon mari me l’a présenté et a dit qu il allait chercher quelque chose. Il m’a laissé seule avec lui. Devant moi j’avais un adolescent plutôt freluquet qui me dit avoir 19 ans. Il me faisait penser à scritch d’une série américaine, le moche de service. Il me demande « alors comme ça tu veux être caresse à 4 mains? » puis me demande si j’aime sucer.j’ai deux choix, partir en courant, mince je suis chez moi ou alors me forcer maintenant qu’il est là et faire plaisir à mon mari.
je me retrouve ainsi sur le canapé entre lui et mon mari. Un ou plusieurs verres plus tard (heureusement) et là un peu groggy. Mon mari se met à l’embrasser et à me caresser. Je sent la présence du jeune homme de l’autre côté qui regarde puis ses mains sur ma cuisse, mes seins et sa bouche sur moi. Tel un balet, j’ai le symétrique des gestes des mon mari mais avec une sensation différente, une odeur différente. Je n’ose pas bouger mais me laisse faire.les caresses deviennent plus intimes et plus appuyées et mon mari commence à me déshabiller. Je me retrouve en sous vêtement sur le canapé malaxée et caressée, la langue de ce jeune inconnu dans la bouche puis je sens des doigts qui me caresse le sexe et qui cherchent l’ouverture. Mon mari se déshabille, le jeune suit. Ses gestes le singe a quelques secondes d’intervalles. Ils sont en caleçon tous les deux. Le corps d’Éric et massif avec des poils et des kilos en trop mais je connais bien ce corps et cette odeur pour l’avoir parcouru tant et tant de fois. Le jeune homme est sec, pas si frêle sans poil avec un boxer qui est soulevé par une erection. Je reste à le regarder le temps que mon mari enlève mon soutient gorge et ma culotte. Mes derniers remparts cèdent, je suis nue entre deux hommes dont un inconnus. Ses doigts me fouillent assez maladroitement, avec vigueur, sa bouche contre mon sein. La bouche de mon mari contre l’autre et ses doigts qui caressent mon clitoris doucement. Le jeune homme a des doigts fins et longs et il en aboie un autre en moi, il est assez brutal, c’est très différent de mon mari. Je sens ses doigts en crochet en moi, il y en a 3. C’est perturbant et je sens une excitation montée en moi. Je sens que je mouille beaucoup que ça coule. Il continue à aller très vite et très loin. C’est là que j’entends mon mari lui dire d’enlever son boxer que je vais le sucer. Il enlève ses doigts et son boxer. Son sexe turgescent rigide étonnamment gros et disproportionné par rapport à son corps. Il a des poils au pubis noirs soyeux. Il s’est mis à genou sur le canapé son sexe vers mon visage. Mon mari me dit « suce le » . Il n’est pas toujours délicat surtout excitée. Et je me met à le sucer doucement comme j’ai l’habitude de faire à mon mari. La c’est différent, l’odeur est différente, la forme, le goût. Son sexe est plus gros que celui de mon mari, plus dur. Et il pousse dans ma bouche et dans ma gorge. Je le sens extrêmement excite. Pendant ce temps mon mari s’est mis entre mes cuisses sa langue me lèche comme il sait si bien le faire, la langue à plat doucement sur mon clito mais fermement. Je sens mon desir qui monte en même temps que celui du jeune homme. Il pénètre ma bouche de plus en plus en profondeur et je le laisse faire. Je n’ai pas de réflexe désagréable étonnamment. Je sens mon orgasme venir. D’un coup le jeune homme pénètre son sexe au fond de ma gorge, j’ai du mal à respirer un peu et je sens son ejaculation. Je sens les jets en moi ça déborde m’étouffe et ça continue. Il me tient fermement la tête et j’entends ses gémissements. Mon mari ne lèche plus, il regarde, je sens le sperme qui sort de ma bouche coule sur mon menton et mon cou. Il ressort m, je peux à nouveau respirer. Son sexe est rouge boursoufflé plein de salive et de sperme toujours au niveau de mon visage. Mon mari me lèche à nouveau et je commence à ne plus me maîtriser devant le plaisir. Le jeune homme me regarde me fouille à nouveau. Il est moins brutal mais il va en profondeur. Ses doigts en moi au plus profond de mon intimité devant mon mari qui se masturbe sur mes seins. J’ai toujours le sperme de cet inconnu qui coule sur moi mais je n’ai qu’une envie c’est de jouir. D’un coup la barrière se lache, le plaisir me submerge et je crie de plaisir. Je sens en même temps l’ejaculation de mon mari sur moi sur mes seins. Je reste comme ça nue, à leur vue, pleine de leur sperme sans pouvoir bouger.
puis l’envie de me laver et de fermer cette parenthèse. De la culpabilisation aussi, séquelles que mon éducation catholique (et pourtant, je vous raconterais peut être un jour). Je vais me laver le temps que les hommes se rhabillent et que mon mari le raccompagne au train.
En rentrant, je me love contre lui et nous faisons l’amour, plus torride que jamais.
